Direction générale de l'offre de soins: son organisation et ses missions changent.

Désormais elle comportera:

De plus, à partir de demain:

  • elle devra réaliser ses missions également en liaison avec les ARS (agences régionales de santé) et devra ne plus le faire pour ce qui des caisses d'assurance maladie qu’avec les nationales,
  • il n’est plus écrit qu’elle devra s’assurer du respect de la dignité des usager·ère·s de l'offre de soins, mais, et pour les usager·ère·s du maintenant nommé système de soins, de celui de leurs droits et des principes éthiques dans leur prise en charge,
  • elle devra veiller à la participation des susmentionné·e·s usager·e·s dans la définition de la politique de la renommée ainsi offre de soins,
  • elle qui était responsable de la régulation de l'offre de soins, notamment des établissements de santé, deviendra responsable de l’organisation de la ne changeant pas de nom offre de soins et ceci en établissement de santé et en ville, au regard des besoins de la population; et c’est à cet effet qu’elle assurera l'égal accès aux soins ainsi que la qualité et la sécurité des soins en veillant à réduire les inégalités territoriales, qu’elle sera compétente pour toute question relative à la détermination et à l'emploi des ressources nécessaires à la ne voyant toujours pas son nom être modifié offre de soins, et qu’elle devra promouvoir le développement des coopérations et des mutualisations entre les acteur·rice·s de la à nouveau ainsi renommée offre de soins,
  • il est spécifié qu’elle devra définir et évaluer les politiques relatives à l'adaptation des parcours de soins des personnes âgé·e·s et des patient·e·s en situation de vulnérabilité et les politiques relatives à la prise en charge continue des patient·e·s et non plus seulement des malades,
  • elle sera chargée et devra veiller à l’application de la réglementation relative aux activités de soins,
  • en plus de devoir le cas échéant le faire en lien avec la direction générale de la cohésion sociale il est dit qu’elle devra définir les modalités de représentation pour, comme elle doit organiser et animer le dialogue social avec, les personnels des établissements publics de santé, sociaux et médico-sociaux et non plus les professionnel·le·s de santé,
  • elle ne devra plus assurer la conception, la mise en œuvre et le suivi des règles de tarification et de régulation financière des établissements de santé, publics et privés mais celles de financement et de régulation financière de ces mêmes établissements,
  • elle sera consultée sur les conditions de rémunération des structures et des professionnel·le·s de santé exerçant à la fois en établissement de santé et en ville, à titre libéral·e ou salarié·e,
  • au lieu d’être responsable du pilotage de la performance des acteur·rice·s de l'offre de soins, qu'i·e·l·le·s exercent en cabinet ou en structure de soins, à titre libéral·e ou salarié·e, ou dans des établissements, de concourir à l'élaboration, au contrôle et à l'évaluation des règles et des procédures garantissant la qualité et la sécurité des soins et leur efficience médico-économique, de promouvoir le développement des coopérations et des mutualisations entre les acteur·rice·s de l'offre de soins et d’élaborer les mesures d'organisation et de fonctionnement applicables aux activités de soins des établissements de santé et les règles relatives à l'organisation générale et à la gestion des établissements publics de santé, elle devra veiller à l’amélioration de l’efficience des acteur·rice·s de la pour une avant-dernière fois ainsi renommée offre de soins, contribuer à l’optimisation des processus de gestion des établissements de santé, piloter la stratégie de soutien à l’investissement des établissements de santé, superviser leur situation financière et assurer la conception et le suivi de la réglementation relative à la gestion financière et comptable des établissements publics de santé,
  • elle ne veillera plus au développement de l’utilisation efficiente des systèmes d’information par les professionnel·le·s et les établissements de santé mais, en lien avec la délégation au numérique en santé, elle devra contribuer à définir les besoins correspondant aux projets numériques relevant de son champ de compétence,
  • en lien avec la délégation aux affaires européennes et internationales, elle devra piloter ou promouvoir des actions de coopération au niveau européen et international sur les questions relatives à la pour une dernière fois ainsi renommée offre de soins, notamment s’agissant de l’accès aux soins, de la qualité et de la sécurité des soins, et relatives aux professionnels de santé,
  • elle devra participer à la définition de la position française au sein des instances européennes et internationales pour l’ensemble des domaines nommés au point précédent,
  • elle devra élaborer les règles relatives à la gouvernance, à l’organisation générale et à la gestion des établissements publics de santé,
  • elle sera, en lien avec la délégation au numérique en santé, responsable du développement et de la régulation des pratiques de soins liées aux innovations numériques et
  • elle devra assurer le pilotage de la transition écologique du système de santé.

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