Tuberculose bovine, caprine, porcine, des camélidés et des cervidés: ce qui va changer.

Dès le début de l’année prochaine, à l’intérieur des zones à prophylaxie renforcée, les préfet·ète·s décideront chaque année les communes dans lesquelles les éleveur·se·s seront soumis·es à un audit de biosécurité et à une formation à la biosécurité. Cette décision sera prise en lien avec l’organisme à vocation sanitaire et l’organisme vétérinaire à vocation technique qui organiseront conjointement audit et formation.
Les éleveur·se·s concerné·e·s seront ceux·lles qui résident ou ceux·lles qui ont fait pâturer au moins un animal sur les communes ciblées.
Enfin, à l’issue de l’audit et de la formation, les éleveur·se·s devront rédiger et mettre en œuvre un plan de biosécurité. Ce dernier devra déterminer les modalités de fonctionnement adaptées aux risques de contamination identifiés et être conservé au sein du registre d’élevage.

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