«Francisation» des produits alimentaires: ce que dit le gouvernement.

Selon le Ministère de l'Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, le dansletitrecité étiquetage «origine France» (pays ayant, selon l’article dudit ministère, des «normes sanitaires [par essence] supérieures») de denrées provenant d’un autre pays:
  • aurait vu l’objectif, pour la DGCCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes), de 10 000 contrôles à réaliser être atteint,
  • aurait été constaté dans environ 30 % des cas dont:
    • plus de 1 sur 2 auraient été lié à des qui auraient donné lieu à des avertissements anomalies mineures et
    • 40 % auraient traduit des qui auraient entraîné 560 amendes administratives et procédures pénales manquements plus substantiels (560 amendes et procédures, pour, si on prend le chiffre de 30 % annoncé au deuxième point comme base de calcul, 1 200 manquements dits plus substantiels) et
  • aurait vu l’objectif demandé à la DGCCRF de 10 000 contrôles être, pour 2025, renouvelé.
Il est à noter du point de vue des amendes que le susmentionné ministère prend pour exemple une qui aurait était infligé à un grossiste pour une francisation de fruits rouges qui aurait été d’un montant, pour «plusieurs milliers de tonnes», de 100 000 euros (ce qui si on prend l’hypothèse d’un millier de tonnes donne à l’amende un montant de 10 centimes d’euros par kilogramme francisé).

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